| | Entre rêve et cauchemar | |
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Akura Nihoto
Nombre de messages : 1185 Localisation : L'étreinte de la nuit immortelle repousse les limites de la conscience Date d'inscription : 24/10/2005
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| Sujet: Entre rêve et cauchemar Ven 10 Juin - 0:05 | |
| Saule pleureur
Les derniers déchirure de la nuit s efface Et pourtant mon cœur est enlacer par les ténèbres Et tandis que mon regards se pose en dehors Se sont mes joie et rêve qui succombe L adage dit inhalez la vie exhalez la douleur Mais mon souffle reste cours et sans élan Mon esprit est frapper par la mélancolie Et nul repos m attend lorsque je suis assoupi J attend des jours plus heureux Mais ce soleil sera t il salvateur ? Une journée de plus dans l errance de l âme Je pleure , même je n est déjà plus de larme Rêve ou cauchemar je ne sais point Pourtant le dernier être m appelle Comme une promesse de paix Je sais pourtant que cette fuite est maudite Mes bras non déjà plus de vigueur Alors même que j arpente ses terres de douleurs
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| | | Mirandir
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Lun 13 Juin - 4:52 | |
| Les Démons fuient quand un homme bien s'en va-t-en Guerre, La nuit tombe et emporte le soleil, Quand un homme bien s'en va-t-en Guerre
L'Amitié périt et l'amour ment, La Nuit tombe, et l'obscurité s'étend Quand un homme bien s'en va-t-en Guerre.
Les Démons fuient, mais escomptent le tribut, La bataille est gagné, mais l'enfant est perdu. | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Mar 14 Juin - 0:03 | |
| Il fu un temps ou le ciel était azur J entend au plus profond de moi les grondements Les voiles blanc m aveugle dans leur cris strident Mes yeux se referment sur la noirceur du monde Les gifles violente m emporte dans leur terreur Et tandis que le monde de désolation m observe Et m accueil dans ses bras malingre et perfide Je voit se qui m entoure s effondrer en cendres S éparpillant comme des sanglots d' enfant Mon corps esseulé voulait simplement volé Je m écrase dans les vagues de la complainte Les flots poisseux du désespoirs ampli mon être Je me noie dans ses pensée détester Je tente de m abreuver de belle parole Mais toujours je m enfonce dans les abimes La dans les ténèbres insonder de la vie Je contemple le royaume du silence J éructe mes derniers espoirs Pour m allonger sur le sable d' ivoire Formé par les ossements des destin oublié Demain le passeur viendra me chercher | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Mar 5 Juil - 20:00 | |
| Ô Morisil
Je t'attends depuis longtemps Dans c'est terre verdoyante Et enfin la nuit du solstice d'été
Là,dansait Morisil
Et de ses pas élégant et frêle L'herbe reste immaculé par t'est frôlement Et la lumière des étoiles était dans ses cheveux ombreux
Ô belle Morisil
L'immortelle à la sagesse elfique Et de t est yeux qui scintilles de astres temps anciens Déja l'aube se prépare et la foret se réveille
Morisil ! Morisil !
De nouveau, elle s'enfuit Elle la nymphe des bois anciens repart car la nuit prend fin Le vent était dans ses cheveux flottant Je la cherchait Toujours,errant au loin A la lumière de la lune et au rayonnement des étoiles Dans les cieux glacés frissonnant
Né de la poussière tu retournera a la poussière Mais des cendres encore chaudes Je renaitrai telle un phénix Messager du nouvelle ère d espoir Et j apparaitrai a vos yeux ébloui , Tel une aube incandescente
Là, le jour durant je respecterai t est préceptes
Ô Morisil, La lumière du jour se présente
Long est le temps sans ta présence Met moindre geste sert a cause Met moindres pensé t'honore Le devoir réfrène l instinct La raison révèle l'illusion Et de ta Grâce tu repousse les ténèbres
Ô morisil ! reviens
A mesure que le soleil se couche J observe sur une terre verdoyante Celle-ci semble s'embrassé a d un ciel flamboyant La nature elle-meme semble reflété le ciel Dans cette folle danse enflammé dédié au soleil Mais déja le crépuscule se lève Et le ciel Autrefois doré devient scintillant Au profit de la lune qui règne dans se dôme étoilé Jadis elle me suscitais la curiosité Elle est aujourd’hui vénéré par moi Pour son symbole d'honneur et de bonheur Enfin je révèlerai notre véritable nature Pour son plus grand plaisir Et mon dessein suivra sa volonté Car elle est la détentrice de la sagesse éternelle Et de l amour que je lui porte Par delà les montagnes et les océans je resterais Toujours le gardien de cette foi
A nouveau la lune rayonnera sur tertre verdoyant
Ô Morisil O combien la nature est inspirée lors de ton retour Le coeur de la foret s 'efforce de reflétée ta Grâce et ta beauté La lune qui est ton symbole nous éclairent de sa figure d'argent Les fleurs du crépuscules danse sous une brise nocturne
Désormais je suis près de toi Par de là le ciel et les astres Ta sagesse que tu m insulfe,me guide vers le juste chemin
Là dans ce bois des temps passé En son coeur,je me prosterne a toi ma chere nymphe Une main au coeur, l autre a la garde Près à servir ton dessein Avec l'ancien code comme serment
Je suis votre éternel gardien Toi la nymphe a la sagesse elfique Je suis envouté par ton parfum suave et mystique Éternel et pour toujours Mon cœur rempli d'amour Ouvre les yeux sur ceux tendre matin
Ô Morisil rappelle toi
Voit cette vision de ce monde que tu chéri Les arbres anciens croit,leur ramure soutien ton dogme A l intérieur meme de ceci,le sang ambré coule Les fleurs volupteuse oû un voile De couleur chatoyante virevoltant dans la brume La rivière coure à travers ton berceau Vers le ciel , au dela des nuages Parmi les astres au travers de met songes Perles de la plus belle eau Tes chants nocturnes argenté m'éveille Mais moi,moi qui de loin tendrement vous surveille L'oeil inquiet,fixé sur vos passion novices Sombres ou lumineux,je vis t'est jours perdus Mon coeur multiplié,jouit de tous vos vices Je retrouve en toi l'ambroisie et le nectar divin Mon âmes resplendit de toutes vos vertus
Ô Morisil souvient toi
Je suis votre éternel courtisan Toi la nymphe à la sagesse elfique Je suis envouté par ta beauté si pure et angélique Eternel et pour toujours Ouvre les yeux sur ceux tendre couchant
Ô Morisil ne sois pas triste A présent l'écho des batailles approche J'attends et j'observe dans cette plaines clairsemé En me préparant à la guerre , je deviens plus fort
Ô Morisil ne pleure pas
La neige tombe en se jour tant reproché Là, je receuille un flocon dans la main Je le porte a la bouche Un délice suave et salé en ressort Maintenant je lève les yeux aux ciel, enfin.......
Enfin....
<<Comme un doux parfum se répand dans l'air , la beauté réveille la mémoire. Il est des lieux si tranquilles que l âme y retrouve la paix. C est lieux qu on appelle des Havres,qu on ne voudrai quittez
Là oû les étoiles éternelles s'alignent que les simples mortels ne peuvent résister. Ce même lieux comme le vent qui me porte rude mais doux, fuyant mais omniprésent. Ensembles nous volons au-delà de l imagination oû Les noms des oiseaux sont des chants tissé dans leurs âmes, ses voix plongeront dans le silence.
Ô Morisil sèche t est larme car telle le phénix je reviendrai que se soit sous une autre forme Peut être pour te servir a nouveau.>>
Inhalez la vie.Exhalez la douleur. | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Mar 5 Juil - 20:06 | |
| Je te refuse Je t'envie
Douceur du printemps dit-on, hélas un rêve Là où convergent traîtrise et oubli. Car pour souffrir il n'y a pas de saison J'ai vu naître cet arbre au noir racine, Je le hais, ce faible qui vis en moi, il se taiera De ses fruits engorgé dans la pénombre,rouge écarlate, Je ne connais de ses lèvres que son nom Je cueille le fléaux dans ma chair tel un damné au cœur de ténèbres.
En été les chants de Nature se mêlent aux miens En toi,je sens dans mon sang un exquis poison C'est la douleur que je chuchote comme un refus Pitié,Compassion,Amours,Tolérance sont noyé dans la torpeur. Oui je refuses ! Et je ne veux pas de ta main En toi, je me sens poussé des ailes d'un ange déchu. Tu voudrais m'aimer, mais ce deuxième moi je le tues Secret,Perfidie,Vilainie,Mort son ton carcan.
Moi Sanguinius je te refuse Akura... ~Calli Kayan~. Qui suis je vraiment?je vis mon rêve , je rêve ma vie... ~Akura Nihoto~
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| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Jeu 7 Juil - 0:02 | |
| J aspire a une nouvelle aube Tandis que mes pieds sont enseveli Je voit la brume m enlacer Je frisonne de cette froide torpeur Je lève les yeux sur le ciel chatoyant Allongeant mes branches empli d' espoir Mes feuilles tremblent au première lueur L astre solaire réchauffe toutes les fibres en moi La sève de la vie parcours mes veines Cette terre qui ma vu naitre N est plus le tertre de mon enfance Ou la joie , la féerie , la musique Virevoltait le long de mon tronc J ai sentit mon écorce craqueler Sous des hivers trop long et rigoureux Des printemps arroser de pluie salé Des étés nuageux a chercher le soleil Des automne meurtri de mélancolie Alors que s envolent les graines du doute Semence éparses d' espoir et de tristesse Qui sais en quel lieu tout ceci fleurira Qui sais quel sagesse en découlera Qui sais quel main verte me fera renaitre | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 19:34 | |
| Dernier voyage
Je marches sur cette mer Ecarlate Je regardes s élever les larmes de sang Caresser ses nuages empli d' ossements Une pâle aurore glaciale s éveille Plongeant mes plaies d' une froide amertume Je suis peu a peu paralyser par mes blessures Alors que mes veines succombent a la noirceur Une multitude de maux rongent mon coeur Circulant dans mon esprit terni J entend le chant des corbeaux Comme une invitation macabre Je redonne un chant funèbres Et mes oreilles succombe au rire des hyènes Mes pas plie sous le poids de la douleur Alors même que je m entoure d' un linceul Le passé me rattrappe comme une noire étreinte Le rugissement du désespoir me harcelé Se soir , je dresse le festin des chacals Avant même que les vautours s invitent Les derniers coups de tambours résonnent Le glas d' une vie qui a sombrer | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 19:45 | |
| Espérance J ai fouler des terres empli de neige J ai connu la morsure du vent glacial Enlacer par les brumes ténébreuse Je cherche encore un havre de douceur Lorsque parfois la brume s écarte J observe cette étoile chatoyante Diffuse et lointaine , scintillante de joie Nimbé de sa lumière viens une douce musique Échos de bonheur inconnu et pétillant Deja l étreinte nuageuse s étire M enlacent de ses bras odieux et perfide Et tandis que j entend un hurlement Je ressent aussi bien la peur , que le bonheur Ses yeux portent une complainte ancienne Sa crinière évoque des nuits égarer Nous portons notre regards ensemble Sur les étoiles qui nous entourent Toutefois nous portons le même amour A se sourire d' argent , et bienfaisant Sous son regards étincellent Nous aspirons a des jours meilleurs | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 19:51 | |
| Le néant
J abattrai une pluie de pensée Tandis que mon souffle sera sans fin Des nuages de mots te déborderons Sous des flots de paroles je te noierai A travers les courants de l illusion Je te plongerai dans les abysses de la folie Et lorsque enfin nous siègerons dans les ténèbres J imposerai la loi immuable Elle sera inébranlable comme futile Toutes les vies s éteindrons dans se monde de silence Afin de retournez au origine de toutes choses
Le néant | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 19:57 | |
| Elisil
Ô Elisil regarde moi
L éclat des vagues sur le rivage Le vent balayant les dunes sauvages Le jours resplendissant de lumière Dans le seil brillant tout entier
Et dans se ciel nimbé de couleur Le changement se fait par une couronne ambré Un ciel d' ou l âme repose sans douleur Soulageant les corps qui fut démembrer
Cette aurore magnifique et infini Par ta présence je ressent en moi le réconfort Me noyant dans ton regards myriadé d' or | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 20:04 | |
| Inspiration
J ai vu germe ses graines de folie Comment autant de couleur de l arc en ciel Cela reste un événement rare et sacré Un ouragan de pensée Nul mur , nul volonté pour l arrêter Entre ténèbres et lumière surgissent Les ombres de mes émotions Douce illusions qui supplante mon esprit J écris ses mots suivant une mélodie Ainsi je capture l éther qui est sans substance Cela viens a moi sans raisons Ni explication Je ne suis qu une plume virvoltante Suivant un tracé que l on nomme destiné Je porte ses ailes sans les définir Tout en me heurtant a la limite Que l on apelle la compréhension
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| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 20:12 | |
| Ode de fer
Mon coeur bat la chamade Autant de jours de pluie sanglante Mes pieds foulent ses champs d' ivoire vaincu La ou toutes vies s achèvent Je voit le destin de tous Je contemple la déchéance de se monde Il incombe alors de savoirs ses pèchés Pour que se repentissent le pècheur Car la rédemption viens du travaille Je comprend alors que la vie est un danger Que toute chose s apprend dans la souffrance Aussi alors que je sais que rien n est facile J accepte le prix de ce monde Je m inflige maux et souffrance C est alors que en moi s éveille l empathie Je ne savait rien Je n était rien Je sais a présent autre chose En me pardonnant rien Je m ouvre a tout Je comprends alors ses quelque mots Le rien est un tout , comme le tout est dans un rien La souffrance est la clé , c est une même souffrance qui unis | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 20:21 | |
| Danse feuille
Je vis et reste inerte , en ce lieux qui ma vu naitre J aspire a la vie depuis les entrailles de la terre Je croit en se monde et chaque jours J enracine ma vie , et je me dresse un peu plus Mes bras vers ses nuages immaculés de blanc Je perdure en se monde Alors que se monde me nourrit de ses larmes d' argentés Je vis ma vie prospère Tel un repère au travers le temps, Et le cycle infini perdure Je m entoure de nouveau habit Tandis qu un nouvelle espoir nait En des temps plus mésicordieux , J attend avec impatience ses caresses ardente Mais deja le temps pleure de nouveau Alors j attends serein le renouveau Des beaux jours car alors que je m endors Je sais que le soleil brillera Toujours comme de l or | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 23 Déc - 20:54 | |
| Isil
Je ne puis dire se qui m arrive Je ne puis dire mes pensée Seul la souffrance m habite Tel une éternité de douleur Elle me suis comme une ombre
J ai vu ses yeux rieur J ai vu se sourir empli de bonheur
Mon coeur saigne sans cesse Une plaie béante interissable Profonde et suintante
Pourquoi ses yeux rieur ? Pourquoi se sourir empli de bonheur ?
Je déambule a en perdre la raison Quêtant mon chemin aux étoile Voyageant sous les rayons de la lune
A qui sont destiné ses yeux rieur A qui sont destiné se sourir empli de bonheur
Le monde s effondre en ruine La foule grouillante inlassable J observe cette désillusion massive
Quel joie dans ses yeux rieur Quel plaisir dans se sourir empli de bonheur
Le temps passe , la solitude m accompagne Douce mélancolie qui fredonne Le goût amer de la complainte
Regarde moi petits yeux rieur Souris moi petit sourir empli de bonheur
Je ne serai dire pourquoi on se ressemble tant Je Te troquerai bien contre mon ombre Cette même symphonie qui résonne dans notre esprit
Que brille a jamais ses petit yeux rieur Que s illumine a jamais se sourir empli de bonheur
Deambule de tes pas chantant Tourbillons de joie Ébloui de ta présence
Que le monde voit tes yeux rieur Que le monde voit ton sourir empli de bonheur | |
| | | Mirandir
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 30 Déc - 5:24 | |
| And Death Shall Have No Dominion
Dead men naked they shall be one With the man in the wind and the west moon; When their bones are picked clean and the clean bones gone,
They shall have stars at elbow and foot; Though they go mad they shall be sane, Though they sink through the sea they shall rise again; Though lovers be lost love shall not; And death shall have no dominion. And death shall have no dominion.
Under the windings of the sea They lying long shall not die windily; Twisting on racks when sinews give way, Strapped to a wheel, yet they shall not break; Faith in their hands shall snap in two, And the unicorn evils run them through; Split all ends up they shan't crack; And death shall have no dominion. And death shall have no dominion.
No more may gulls cry at their ears Or waves break loud on the seashores; Where blew a flower may a flower no more Lift its head to the blows of the rain; Though they be mad and dead as nails, Heads of the characters hammer through daisies; Break in the sun till the sun breaks down, And death shall have no dominion. | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Jeu 12 Sep - 12:17 | |
| Petit..
Un monde de géant , qui gravite sans nul intention a mon égare De mes petits pas feutrer , effleurant les ombres passantes Longeant des canaux empli de désespoirs des grands Je voit rissoler l histoire des vaincu , et des moribonds Je vis dans se sous monde ou nul ne souhaites me voir Je survis dans l indolence et les immondices d autrui Maudissant le jours et patientant dans les ténèbres Indéfectiblement je survivrai
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| | | Mirandir
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Jeu 12 Sep - 15:24 | |
| Les amants des prostituées Sont heureux, dispos et repus ; Quant à moi, mes bras sont rompus Pour avoir étreint des nuées.
C'est grâce aux astres nonpareils, Qui tout au fond du ciel flamboient, Que mes yeux consumés ne voient Que des souvenirs de soleils.
En vain j'ai voulu de l'espace Trouver la fin et le milieu ; Sous je ne sais quel oeil de feu Je sens mon aile qui se casse ;
Et brûlé par l'amour du beau, Je n'aurai pas l'honneur sublime De donner mon nom à l'abîme Qui me servira de tombeau. | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 15 Sep - 6:06 | |
| Douce folie
Enivrante douceur , enivrante raison , Contre façon et étrange mélopée Nimbé d odeur , ruisselant dans l air Dans une Danse macabre revigorante Je marche un rêve apaiser Car dans mes veines coules carmin Puissant et illusoire Ciel ténèbres et terre radieuse Herbe folle et chat de misère Contemple de qui nie Observes se qui n est pas Omega et sigma Sigma est Omega Lorsque danse les couleurs a vos oreille Que l aube s éteint La raison s enfuit Et la folie à cours Poussière est poussière Se que trépas est a la vie L ouragan de pensée n est rien en son œil Oublie ... Oublie ... Oublie ! L Erreur n est pas , la vérité n est plus Tandis que virevolte les miasmes nuageux La brume poisseuse de la lumière Succombe sur un lit de lichen Résonne petit tambour Bat car je suis sourd Mélopée de sang déferlant La cascade jailli de se qui fut Cendres amères et suave Tel la chrysanthème ambré Suffoque les songes enfumé Que brûle la passion Car voici le bal des âmes vagabondes Alors dansons , festoyons , rions La moisson arrive ...
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| | | Mirandir
Nombre de messages : 598 Date d'inscription : 11/12/2005
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Lun 16 Sep - 18:12 | |
| I Je pensai tout de suite, il ment à chaque mot, Ce vieil estropié à l’œil si sournois, Guettant dans mes prunelles l’œuvre de sa duperie, Sa bouche non sans peine dissimulant une joie Qui en pinçait et plissait les contours, Alléchée par la vue d’une victime nouvelle. II Qu’attendrait-il d’autre, son bâton à la main ? Qu’attendrait-il ? sinon d’accoster et de tromper Le voyageur qui le découvrirait en cet endroit posté, Et lui demanderait sa route ? J’imaginais alors le rire De ce crâne grimaçant, et voyais sa béquille désœuvrée Tracer mon épitaphe dans la poussière du chemin, III Si d’aventure, sur son conseil, je m’engageais Sur la sente sinistre qui, aux dires de chacun, Cache la Tour Sombre. Malgré tout, j’obéis Et suivis la route indiquée par son doigt : la gloire, Ni l’espoir rallumé par la vision de l’arrivée ne me poussaient, Mais la simple joie d’entrevoir la fin du voyage. IV Pour avoir tant erré par le vaste monde, Pour avoir tant d’années à ma quête voué, Mon espoir n’est plus qu’un fantôme qui chancelle Devant la joie tonitruante qu’eût donné le succès, C’est à peine si j’essayai de retenir le bond Que fit mon cœur devant le spectacle de ma défaite. V Semblable au malade qui sur son lit de mort A tout l’air d’un défunt, qui voit poindre et tarir Les pleurs de ses amis, qui reçoit leurs adieux, Entend l’un inviter l’autre à se retirer, à prendre L’air frais dehors (« Puisque tout est fini, dit-on, Et qu’aucune plainte ne peut réparer le coup du sort ») ; VI Pendant que l’on s‘inquiète de savoir si sa tombe Trouvera une place à côté des autres, du jour Le plus approprié pour emporter la dépouille, Du choix des bannières, des hampes et du linceul, L’homme entend tout cela et désire ardemment Ne pas démériter, en tardant à passer, ce tendre attachement. VII J’endurai de telles souffrances au cours de la quête, J’entendis si souvent de funestes augures, on me compta Tant de fois parmi les rangs de « La Troupe » – celle Des chevaliers qui à la quête de la Tour Sombre vouèrent Leurs pas – que je n’aspirais qu’à partager leur défaite, – La seule question était désormais : serai-je à la hauteur ? VIII Alors, calme comme le désespoir, je me détournai De l’odieux éclopé, quittai la grand route Pour m’engager sur la sente indiquée. Mornes Furent les heures les plus claires, désormais l’obscurité Tombait sur le jour finissant qui lançait son œil rouge Et torve sur l’ouaille prisonnier de la plaine. IX Écoutez-moi! Je ne m’étais pas plus tôt Engagé par la plaine que je fis halte Après un pas ou deux, pour jeter un dernier regard Sur la grand route : le néant ; autour de moi une grise plaine: Rien qu’une étendue grise, à perte de vue. Autant aller de l’avant ; n’ayant guère d’autre choix. X J’allai donc. Jamais je ne vis, je crois, Nature si chétive et si vile ; ici, point de luxuriance. Des fleurs ? – autant chercher un bosquet de cèdres ! Seules l’ivraie et l’épurge, suivant la loi de leur espèce, Pouvaient proliférer tout à leur guise, Semblait-il. Une pousse de bardane eût été merveille. XI Hélas ! Disette, Apathie et Disgrâce Par étrange malheur échurent à cette terre. « Ouvre les yeux, disait Nature rétive, ou tiens-les clos, En somme, peu me chaut car je n’attends rien Que le feu du Jugement Dernier par lequel ce lieu sera guéri, Ses glèbes calcinées, ses prisonniers libérés. » XII Si la tige dégarnie d’un chardon venait à pousser Plus haut que ses voisines, on la décapitait, Sans quoi le chiendent l’aurait jalousée. Qui perce et déchire Les feuilles brunes et épaisses de l’oseille, si bien meurtries Que vain est l’espoir de reverdie ? Brute Celui qui les foula, leur ôtant la vie, d’un cœur brutal. XIII L’herbe poussait en des touffes aussi rares que des cheveux Sur un crâne lépreux – de minces brins desséchés perçaient Un sol boueux dont les entrailles semblaient mêlées de sang. Roide, aveugle, un cheval, les os saillants, Se tenait là, abruti – dieu seul sait comment il se trouva ici Mis au ban de l’écurie du diable après de longs services ! XIV Était-il vivant ? non, bien mort, pour autant que je sache, Avec son cou pendant, rouge, hâve, couvert de plis Et ses yeux clos cachés sous un vieux crin rouillé, Rarement vis-je grotesque et malice ainsi mariés, Jamais je ne croisai une bête éveillant en moi tant de haine ; Il devait être bien méchant pour recevoir si dur châtiment. XV Je fermai les yeux et les tournai vers mon cœur. Comme un homme réclame du vin avant le combat, Je demandai une gorgée d’images de mon bonheur passé, Avant de prétendre endosser dignement mon rôle. Songe d’abord, frappe ensuite – tel est l’art du soldat : Une rasade de bon vieux temps et le voilà paré. XVI Non ! J’invoquai le visage rougi de Cuthbert Qui parut, encadré de torsades dorées, Le cher ami, et je finis presque par sentir son bras Glissé sous le mien pour arrêter mon élan Comme il avait coutume de le faire. Hélas, nuit d’infortune, La flamme qui réchauffait mon cœur s’éteignit et le laissa glacé. XVII Puis ce fut Gilles ! L’honneur incarné – Il se tenait là Aussi droit qu’il y a dix ans lors de son adoubement. Ce que l’honnête homme se devait d’oser (disait-il), il l’osait. Bien – mais la vision change – fi ! quelles mains de bourreau Ont épinglé sur sa poitrine un parchemin? Ses hommes le lisent. Malheureux traître, que l’on couvre de crachats et d’imprécations ! XVIII Le présent vaut mieux qu’un tel passé ; Retournons donc sur la sente assombrie ! Pas un bruit, et l’on n’y voit goutte aussi loin que porte le regard. La nuit enverra-t-elle une chouette ou une chauve-souris ? Songeais-je, quand une vision sur la plaine maussade Arrêta mes pensées et en changea le cours. XIX Un maigre ruisseau avait soudain surgi devant mes pas Aussi preste qu’un serpent qui croise votre chemin. Ce n’était point une eau stagnante, amie des ténèbres, Mais une onde écumante qui aurait pu baigner Le sabot étincelant d’un démon – à voir la furie De ses noirs remous et le bouillon crépitant de son écume. XX Chétif mais non moins redoutable ! Le long de sa rive Des aulnes bas et rabougris mettaient genoux à terre, Des saules détrempés se jetaient à l’eau tête baissée, Dans un élan de désespoir muet, cortège de suicidés : Le ruisseau qui les avait abreuvés de malheur, Quel qu’il fût, roulait ses eaux sans le moindre trouble. XXI Comme je le passai à gué, je craignais à chaque pas De poser le pied, ô ciel, sur la joue D’un noyé, et de sentir la lance que j’enfonçais Dans les profondeurs du lit, prise dans ses cheveux et sa barbe ! — Je dus percer un rat d’eau de ma pointe Mais, pouah ! son cri rappelait le pleur du nourrisson. XXII Je gagnai content l’autre rive, Enfin une terre plus hospitalière ! Vaine espérance Quels soldats avaient pu faire campagne en ce lieu Quel piétinement sauvage avait changé la terre glacée En bourbe ? Des crapauds dans une eau pestilentielle ? Ou des chats sauvages dans une cage de fer chauffé à blanc ? – XXIII L’assaut avait été donné dans ce cirque cruel. Pourquoi choisir ce lieu dans une plaine si vaste ? Nulle trace ne conduisait à cette enceinte sinistre, Nulle n’en sortait. Assurément un terrible breuvage avait enflammé Les esprits, comme ceux des galériens que le Turc s’amusait À lancer l’un contre l’autre, Chrétiens contre Juifs. XXIV Et pire encore – à quelques pas – pourquoi ? Quel terrible usage réservait-on à cette machine, cette roue, Non, ce chevalet – cette herse à dévider Les entrailles des hommes comme des fils de soie, Engin d’enfer abandonné sur terre par mégarde, Ou apporté là pour affûter ses dents d’acier rouillées. XXV Puis ce fut un champ de souches, jadis un bois, Qui devint marécage et n’est plus qu’une terre Mise à nu, épuisée ; (tel l’idiot qui, hilare, Fait une chose pour ensuite la ruiner, change d’humeur Puis s’en va !) ; sur quelques enjambées, tout n’était que Tourbe, glaise, rocaille, désert désolé de sable noir. XXVI Çà et là, la surface bariolée des plaies suppurantes, Un maigre sol dont les lambeaux S’abîment en plaques de mousse purulente ; Puis un chêne paralytique barré d’une crevasse, Bouche distordue à la lèvre fendue, Qui bée et se rétracte devant la mort. XXVII Et j’étais toujours aussi loin de toucher la fin ! Rien à l’horizon que le soleil couchant, Rien d’autre pour conduire mon chemin ! Alors un grand oiseau noir, ami d’Abaddôn, Passa ; en planant, sa grande aile de dragon, Effleura mon heaume – la chance m’envoyait-elle un guide ? XXVIII Levant les yeux, je perçai peu à peu le crépuscule : Autour de moi la plaine avait laissé place À des montagnes – si un tel nom peut convenir Aux laides éminences qui s’offrirent soudain à ma vue. Par quel mystère m’étaient-elles apparues ? – à vous de le lever ! Par quelle voie leur échapper, rien n’était moins clair. XXIX À peine semblai-je déceler quelque mauvais tour Du sort qui m’avait frappé, Dieu sait quand – Dans un cauchemar, qui sait ? Là s’arrêtait Mon cheminement. Comme j’étais sur le point De renoncer, un bruit sec retentit Comme un piège refermé – te voici captif ! XXX Sur moi tomba le feu de la révélation: J’y étais ! à droite les deux collines ramassées Comme deux taureaux corne contre corne, À gauche, un haut mont chauve… insensé, Stupide, toi qui, en cet instant crucial, trouves à t’assoupir Toi qui, toute ta vie, t’es préparé à cette vision. XXXI Que voyait-on au beau milieu, sinon la Tour, elle-même ! Ronde et trapue, aveugle comme un cœur privé de raison Bâtie de pierres brunes, sans rien qui lui ressemble Sur toute la terre. Ainsi le génie de la tempête, dans sa malice, Pointe du doigt au marin l’écueil ignoré, Au moment où la coque commence à céder. XXXII Rien ne frappe votre œil ? la nuit sans doute ? – Mais le jour reparut bientôt et avant de tomber, Le rayon mourant du couchant embrasa une crevasse, Les collines, tels des géants à l’affût, s’étaient allongées Le menton dans les mains, épiant le gibier pris en chasse, « Frappez-le, – jusqu’à la garde – achevez-le ! » XXXIII Rien ne frappe votre ouïe ? avec tout ce bruit ! Le tintement du glas S’enflait comme celui d’une cloche. À mes oreilles Le nom de ceux perdus dans l’aventure, mes pairs – Ô la force de l’un, la bravoure de l’autre, la fortune du troisième, Mais chacun depuis a passé, oui, passé ! L’instant sonna le glas d’années endeuillées. XXXIV Ils se tenaient là, sur les flancs de la colline alignés, Contemplant mes instants derniers, cadre vivant D’un nouveau tableau ! Devant le rideau de flammes, Je les vis tous et reconnus chacun, cependant que Sur mes lèvres impavides je posai l’oliphant Et soufflai : « L’écuyer Roland s’en vint à la Tour Sombre. » | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Dim 10 Nov - 16:14 | |
| Automne
J entend dans le lointain Se chuchotement symphonique Doucement les échos résonne inlassablement J ai vu la lumière décroître pour se gris maussade Les murmures passé appelles Seul les fou ne se sont pas mis à l'abris L amertume rissolé au sol Rejoignant le limon de la mélancolie La brume s'épaissit autour de moi Quel idée j ai eu de sortir Mon échine frissonne de froid Inlassablement le brouillard me transperce Ou est donc se sourire doré ? La longue nuit approche à pas feutrer La nature s en retourne à la torpeur Alors même que ses feuilles tombe en larmes Le monde s éteint sous des nuances de gris Aucun bruit , nul chose sous mon regard Seul mon souffle et mon cœur ; pour rappelle a la vie L'étreinte de la solitude m entoure de ses bras Nul réconfort et nul chaleur Et lorsque enfin je perçoit un son Que voilà le Hérault du tonnerre qui s annonce J hurle alors à tue-tête , maudissant les cieux "Allez viens! Abat sur moi tes dards d argents ; Je n en est cure , viens ! Déchaîne ton déluge " Somme môme du comble un simple crachin Je songe au ridicule de ma bravoure Seul , tremper , et perdu dans le brouillard Que les dieux emporte ma bêtise Car en attendant les corbeaux ris de moi | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Lun 13 Jan - 5:36 | |
| Le Marais
Aux esprits oubliés , enfouie dans leurs limon Qui doucement , chaque jours murmurent Observant sans cesse les étoiles se noyés Dans ses eaux sombre , dors les secrets De nuit comme de jours cette lueur blafard La vie persiste tel des lucioles éparses Nul espoirs dans se vent moribond Lorgnant sur les âmes vagabondes Dans cette brume cestode attendent les demi mort Combien se sont égarés sans se retrouver C est ainsi que les infimes profiteurs se nourrissent Devenant un esprit à l heure tour Nouant le cycle des disparu . | |
| | | Akura Nihoto
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Lun 13 Jan - 5:36 | |
| Phénix Ne de la poussière Tu retournera à la poussière Mais des cendres encore chaudes Je renaîtrait à l aube d une nouvelle ère Et j apparaîtrai à vos yeux ébloui Tel un phénix flamboyant Déployant mes ailes de flammes sur se monde J apporterai la lumière au incrédule Fournissant de la chaleur au démuni Et même si la nuit persiste , j annoncerai l'aurore Que s embrassent les cœurs meurtri Car après la pluie amère viens le soleil Le feu de l'amour estompe les vieilles blessures Laissez vous porter par l étincelle de joie Les vestiges du passé brûle Afin de vous forger un avenir doré incandescent Que votre âmes irradie le chemin des autres | |
| | | Akura Nihoto
Nombre de messages : 1185 Localisation : L'étreinte de la nuit immortelle repousse les limites de la conscience Date d'inscription : 24/10/2005
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Lun 13 Jan - 5:37 | |
| Cœur noir
Souvenir d antan et pourtant fugace Je garde en moi se cortèges passé Le temps n'a pas d emprise sur le vécu A chaque battement ressurgit ses vestiges C est instant enlacé , troublant , vivifiant Doucement nous enchantons nos êtres Parcourant notre fibre , s insinuant dans nos veines Ainsi naquit se secret qui nous lie Mon cœur est noir et dessécher Pourtant il garde se délice Près de nouveau à frémir Attendant se retour pour bourgeonner Je me murmurent un adage
Le sang nous unit doublement ,car nous partageons le même sang et nous avons versé le sang | |
| | | Mirandir
Nombre de messages : 598 Date d'inscription : 11/12/2005
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Mer 29 Jan - 2:02 | |
| Jamais je n'ai cherché la gloire Ni voulu dans la mémoire des hommes Laisser mes chansons Mais j'aime les mondes subtiles Aériens et délicats Comme des bulles de savon.
J'aime les voir s'envoler, Se colorer de soleil et de pourpre, Voler sous le ciel bleu, subitement trembler, Puis éclater.
A demander ce que tu sais Tu ne dois pas perdre ton temps Et à des questions sans réponse Qui donc pourrait te répondre?
Chantez en coeur avec moi: Savoir? Nous ne savons rien Venus d'une mer de mystère Vers une mer inconnue nous allons Et entre les deux mystères Règne la grave énigme Une clef inconnue ferme les trois coffres Le savant n'enseigne rien, lumière n'éclaire pas Que disent les mots? Et que dit l'eau du rocher?
Voyageur, le chemin C'est les traces de tes pas C'est tout; voyageur, il n'y a pas de chemin, Le chemin se fait en marchant Le chemin se fait en marchant Et quand tu regardes en arrière Tu vois le sentier que jamais Tu ne dois à nouveau fouler Voyageur! Il n'y a pas de chemins Rien que des sillages sur la mer.
Tout passe et tout demeure Mais notre affaire est de passer De passer en traçant Des chemins Des chemins sur la mer
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| | | Akura Nihoto
Nombre de messages : 1185 Localisation : L'étreinte de la nuit immortelle repousse les limites de la conscience Date d'inscription : 24/10/2005
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar Lun 7 Avr - 4:52 | |
| Elanor
Souvenir douloureux enfoui et vivace J ai vu perlé la rosé larmoyante Sur tes délicates pétales dorée Se cœur d'argent si apprécier A craqueler sous un hivers trop brute Oh nuit fugace , nul repos consolant Propice à des pluies silencieuse et caché La petite fleur se courbe dans le chagrin Certaine chose s écoute comme un chant inaudible Quelque soir les ténèbres que tu subit Que vienne les douceurs pour panser tes plaies Un vent léger empli de chaleur Pour t enlacer tendrement et t apaiser Et faire naître une petite flamme blotti contre toi Tel une chandelle pour repousser cette noirceur Et cautériser ton cœur | |
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| Sujet: Re: Entre rêve et cauchemar | |
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| | | | Entre rêve et cauchemar | |
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